Sur nous
Anne de Chambrier
Co-fondatrice de l’association PTO, experte en coaching
Anne Aymone de Chambrier a suivi un double cursus en sciences économiques et en musique classique. Elle s’est engagée dans de nombreuses activités dans ces deux domaines fondamentalement différents – la science et la culture. Elle a réussi ce numéro de funambule en travaillant d’abord à temps partiel, puis en partageant son emploi.
Anne de Chambrier a fondé avec I. Krone l’association PTO en 2013 et est depuis 2016 experte en coaching au sein de l’association PTO (Part Time Optimisation).
Depuis 2007, A. de Chambrier travaille comme responsable de programme dans le domaine de la coopération internationale et de la promotion commerciale en faveur des pays en développement et en transition au SECO à Berne (9 ans en job sharing avec sa collègue I. Krone). Elle gère des projets de coopération dans différents pays, de l’Asie centrale au continent africain.
2000-2007 : Au sein du SECO, elle s’est occupée, au sein de la Direction de la politique économique, de thèmes tels que la responsabilité sociale des entreprises (RSE), l’assouplissement des réglementations étatiques et l’e-gov. Elle a régulièrement représenté la Suisse auprès de l’OCDE (Paris).
1997-2000 : A. de Chambrier a travaillé chez SGI (Silicon Graphics Manufacturing), une entreprise américaine de matériel informatique, dans les domaines du marketing et de la gestion d’entreprise.
Elle est titulaire d’un master en sciences économiques et a étudié aux universités de Neuchâtel et du Sussex (Royaume-Uni). Elle est titulaire d’un diplôme d’enseignement de l’alto de l’Académie de musique de Bâle.
Activités culturelles : depuis 2013, elle organise une saison de musique classique au château de Cormondrèche. Auparavant, elle a été membre de différents ensembles professionnels, notamment de l’Orchestre symphonique neuchâtelois jusqu’en 2009, et a enseigné le violon pendant plusieurs années. Elle joue régulièrement dans une formation de musique de chambre (altiste).
Mère de deux enfants, elle a décidé de travailler en job sharing pour des raisons familiales.